Je me questionne constamment sur le travail que les filles feraient si elles étaient à l'école. Il me semble que nous n'avançons pas et pourtant. Quand je jette un œil sur le travail accompli à la fin de la journée, il apparait clairement que nous n'avons pas chômé, bien que l'on aurait pu en faire plus, mais à quel prix? Je reviens toujours à ce premier constat de base qui nous a décidé à instruire nos filles à la maison. Enlever du stress pour une, vivre une aventure en famille où chaque membres apprendra à se connaître d'avantage à vivre ensemble, permettre aux filles de développer chacune leurs habilités propres, miser davantage sur la culture artistique puisque c'était un intérêt commun à toutes, permettre à une de se dépenser plus que ce que l'école lui aurait permis avant de pouvoir se concentrer sur ses études.Vivre quoi. Lorsque je travaille avec les filles dans les livres scolaires, je ne comprends pas comment les professeurs parviennent à passer au travers. Je n'ai qu'une enfant par niveau et si je fais tous les exercices (par exemple dans Singapour), cela demande énormément de temps. Est-ce qu'ils parviennent vraiment à voir toute la matière?
Je me questionne beaucoup et finalement, je me dis que les filles évoluent bien. Elle ne connaîtront pas tout et n'auront pas appris de la même façon qu'à l'école, mais l'expérience qu'elles auront vécue vaudra sûrement bien des livres scolaires.
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2 commentaires:
Aucun des livres utilisés par Mi et Lou à l'école n'était entièrement terminé... Il y a toujours des petits imprévus... Les enfants scolarisés ne connaissent pas tout non plus. ;)
HAAA! Chère Lysalys. Je sais. SI on fait un petit calcul rapide des pages à faire, dans chaque matière, si on soustrait le temps de discipline, les récrés, les transitions, les sorties, les pédagos, les vacances, les congés....finalement, c'est sûrement pour cette raison que les professeurs donnent des devoirs....;-) Bonne journée
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